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centrale nucléaire - Page 9

  • Fukushima : sept ans déjà !

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    Dessin de Dilem pour Charlie-hebdo

  • Ah, si j'étais belge !

    Être belge comporte un certain nombre d'avantages. On peut se montrer fier d’être compatriote de grands artistes comme Jacques Brel, Magritte ou d'autres célébrités comme Simenon ou Hergé. De plus, on n'est pas obligé de voter tous les 5 ans pour un Président de la République, la constitution garantissant une paix royale en ce domaine.

    Depuis cette semaine, tous les Belges bénéficient de la distribution de pastilles d'iode en prévention d'un accident nucléaire. La zone de sécurité a été étendue à 100 Km autour des centrales existantes, c'est-à-dire à tout le pays, en tenant compte des installations nationales, mais aussi de celle de Chooz.

    De l'autre côté de la frontière, la zone de distribution se limite à 20 Km. Il faudra avertir le nuage radioactif de cette différence en cas d'accident grave. Il faut savoir que Vouziers se situe à 78 Km de Chooz, mais aussi à 112 Km de Cattenom et à 134 Km de Nogent sur Seine, soit 3 centrales assez proches. Pour mémoire, la pollution liée au nuage de Tchernobyl a été significative à plus de 2000 Km (Corse par exemple).

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    Le passage d'une zone de 10 Km à une zone de 20 Km a été décidé en France suite au retour d'expérience de la catastrophe de Fukushima. La décision belge tient mieux compte de la réalité du danger. Faudra-t-il attendre une autre catastrophe pour s'aligner sur elle ?

    Voici ce que disent nos voisins au sujet de cette mesure (site rtbf.be) :

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  • Fukushima, 7 ans de catastrophe - N’attendons pas un accident en France, sortons du nucléaire !

    Communiqué du réseau"Sortir du nucléaire"

    Ce 11 mars 2018 marquera les 7 ans de la catastrophe de Fukushima. Alors que le risque d’accident n’a jamais été aussi élevé en France, une mobilisation importante est prévue pour exiger une sortie du nucléaire en urgence. Elle sera par ailleurs suivie par la tournée en France de Naoto Kan, Premier ministre japonais en exercice lors de l’accident de Fukushima.

    Fukushima, 7 ans de catastrophe

    Alors que le monde s’apprête à commémorer les 7 ans de l’accident de Fukushima, la catastrophe continue à se déployer au Japon. Les retombées radioactives restent présentes dans les sols, la décontamination s’avérant illusoire.

    Pour ce qui est des seuls examens médicaux pratiqués systématiquement auprès des habitants de Fukushima depuis 2011, à savoir ceux de la thyroïde, les résultats sont alarmants : selon les chiffres les plus récents, le nombre de cancers diagnostiqués s’élève maintenant à 193 (dont 154 avérés après opération) - sur 300 000 enfants et adolescents âgés de moins de 18 ans au moment de l’accident.

    Plutôt que de prendre à bras-le-corps ces problèmes de santé publique, les autorités se montrent indifférentes au sort des victimes. Les populations sont invitées à revenir vivre dans des zones très contaminées et les familles qui ont fait le choix de l’exil ne reçoivent plus d’indemnités. Pire, les personnes qui alertent sur les risques sanitaires sont désormais considérées comme des trouble-fêtes.

    Pendant ce temps, à la centrale de Fukushima Daiichi, la situation demeure impossible à maîtriser et les rejets radioactifs continuent à se déverser dans l’océan.

    (...)

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  • La place des militantes et militants de Greenpeace n’est pas en prison

    Plus de soixante personnalités du monde associatif, syndical, culturel et politique réagissent à la condamnation de militant-es de Greenpeace, dont certains à des peines de prison ferme. Dans une tribune publiée dans Libération, elles dénoncent un « verdict inquiétant à plus d’un titre » contre des « lanceurs et lanceuses d’alerte » qui dénoncent les risques nucléaires.

    La liste des signataires est disponible sur le site de Libération : « La place des militantes et militants de Greenpeace n’est pas en prison »

     

    Plusieurs militants ont été condamnés à de la prison ferme pour avoir réussi à s’introduire dans la centrale nucléaire de Cattenom. Un verdict inquiétant à plus d'un titre.

    Cette semaine, six militant·e·s de Greenpeace ont été condamnés à cinq mois de prison avec sursis. Deux autres militant·e·s ont été condamnés à deux mois de prison ferme. Une première dans l’histoire de l’organisation environnementale. Il leur était reproché d’être entrés, en octobre dernier, dans la centrale nucléaire de Cattenom et d’avoir déclenché un feu d’artifice devant le bâtiment abritant la piscine de combustible usé, un lieu très chargé en radioactivité et mal protégé contre les agressions externes. Par ailleurs, un salarié de l’organisation a été condamné pour complicité et la personne morale a elle-même été condamnée à une amende.

    Ce verdict est inquiétant à plusieurs titres. Tout d’abord, ces militant·e·s ont agi en lanceurs et lanceuses d’alerte. Ils n’ont tiré aucun profit personnel de leur passage à l’acte. Ils ont pris des risques pour en dénoncer un bien plus grand, celui de la vulnérabilité de nos centrales nucléaires. Ils ont agi en toute non-violence dans le seul objectif de créer un débat public sur la sécurité nucléaire, un sujet qui nous concerne toutes et tous, quel que soit l’endroit où nous vivons en France.

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  • Les militants de Greenpeace condamnés : l'ONG fait appel

    « Greenpeace France, ses militants et son chargé de campagne nucléaire ont immédiatement décidé de faire appel de cette décision de justice très sévère », a déclaré Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace France, à la sortie du tribunal de grande instance de Thionville, dans la soirée du 27 février.

    Huit activistes étaient jugé-e-s mardi 27 février à Thionville pour s’être introduits dans la centrale de Cattenom en Moselle et avoir déclenché un feu d’artifice au pied de la piscine d’entreposage de combustible usé, en octobre 2017.

    Par ailleurs, Yannick Rousselet, chargé de campagne nucléaire de Greenpeace France, était poursuivi pour « complicité », et Greenpeace France en tant que « personne morale ». EDF réclamait à l’association et aux activistes plus de 700 000 euros en réparation dont 500 000 euros pour « atteinte à sa crédibilité ».

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  • Les centrales très mal protégées face aux actes de malveillance

    Greenpeace a apporté ce jour la preuve concrète que les centrales étaient très mal protégées face aux actes de malveillance.

    Voici leur constat sur cette faille majeure de sécurité.

    Les centrales nucléaires qui nous entourent sont une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes. Un nouveau rapport d'experts indépendants, remis aux autorités aujourd’hui, met en cause la sécurité des installations nucléaires françaises et belges en pointant du doigt leur vulnérabilité face aux risques d'attaques extérieures. Ces experts sont particulièrement inquiets concernant certaines installations des centrales françaises : les piscines d'entreposage des combustibles nucléaires usés. Alors qu'elles peuvent contenir le volume de matière radioactive le plus important au sein des centrales, ces piscines sont très mal protégées. N'attendons pas les bras croisés que le pire arrive : parlons-en et agissons.

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  • Centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire (Cher). L’ASN met le site sous surveillance renforcée.

     

    Note d'information de l'Autorité de Sûreté Nucléaire, publié le 13/09/2017 à 09:30

     

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    L’ASN a décidé de placer sous surveillance renforcée la centrale nucléaire de Belleville-sur-Loire dans le Cher (18), en raison de la dégradation du niveau de sûreté qu’elle constate depuis 2016 sur ce site, et de l’absence d’améliorations notables de la part d’EDF à ce jour.

    Les dispositions de mise sous surveillance renforcée décidées par l’ASN se traduiront notamment par des contrôles supplémentaires et par une attention particulière portée à la mise en œuvre des ajustements nécessaires en matière d’organisation. L’ASN contrôlera régulièrement l’efficacité du plan d’action déployé par EDF.

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